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Une preuve de loyaute
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d’humanité afin de relever la race déchue ; lui qui pour nous se fit
pauvre, afin que par sa pauvreté nous fussions enrichis, il a parlé aux
hommes, et dans sa sagesse leur a révélé le plan qu’il avait préparé
pour soutenir ceux qui portent son message à travers le monde. —
The Review and Herald, 4 février 1902
.
La part que Dieu se réserve en temps et en argent
Le même langage est employé en ce qui concerne le sabbat et
la dîme : “Le septième jour
est
le sabbat de l’Eternel, ton Dieu.”
L’homme n’a ni le droit ni le pouvoir de substituer au septième
jour le premier jour. Il peut prétendre pouvoir le faire ; “néanmoins,
le solide fondement de Dieu reste debout”.
2 Timothée 2 :19
. Les
coutumes et les enseignements des hommes ne diminuent en rien les
exigences de la loi divine. Dieu a sanctifié le septième jour. Cette
portion de temps particulière, réservée par Dieu lui-même au culte
et à l’adoration, est aussi sacrée aujourd’hui qu’elle ne l’était au
moment où elle fut consacrée par notre Créateur.
De la même manière la dîme de nos revenus est “sacrée devant
l’Eternel”. Le Nouveau Testament n’abolit pas la loi de la dîme, pas
plus qu’il n’abolit le commandement relatif au sabbat ; leur validité
et leur grande importance spirituelle y sont clairement expliquées. ...
Tandis que, en tant que peuple, nous essayons de donner fidèlement
à Dieu le temps qu’il s’est réservé pour lui-même, ne lui rendrons-
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nous pas aussi la part de nos revenus qu’il revendique ? —
The
Review and Herald, 16 mai 1882
.
Les proprietes aussi bien que les revenus doivent etre soumis a
la dime
Ainsi que le fit Abraham, il faut payer la dîme sur toutes ses pos-
sessions et tous ses revenus. Une dîme fidèle est la part du Seigneur.
La garder pour soi, c’est tromper Dieu. Tout homme devrait apporter
librement, volontairement et joyeusement ses dîmes et ses offrandes
dans la maison du Seigneur parce que c’est une bénédiction d’agir
ainsi. Il n’y a aucune sécurité dans le fait de garder pour soi la part
qui revient à Dieu. —
Medical Ministry, 216
, 1899.