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Conseils á L’Eglise
Accorder la priorité à la cause de Dieu
Ne vaudrait-il pas mieux célébrer des “jours fériés” en l’honneur
de Dieu ? Ils seraient pour nous l’occasion de rappeler ses bien-
faits en notre faveur. Ne serait-il pas profitable de nous souvenir
de ses bénédictions passées et des appels émouvants qu’il a adres-
sés à nos âmes pour que nous ne nous détournions pas de lui ? Le
monde célèbre de nombreuses fêtes au cours desquelles les hommes
s’adonnent à bien des plaisirs : courses de chevaux, jeux d’argent,
tabac, boissons. ...
Le peuple de Dieu ne devrait-il pas avoir plus souvent des
réunions spirituelles afin de rendre grâces à Dieu pour ses riches
bénédictions ?
Dans l’église, nous voulons des hommes capables d’organiser un
travail utile et de le repartir entre les jeunes gens et les jeunes filles,
en vue de répondre aux besoins de leurs semblables, et de contribuer
au salut des hommes, des femmes, des jeunes et des enfants. Il ne
sera pas possible à tous de consacrer la totalité de leur temps à cette
tâche, car certains doivent travailler pour gagner leur vie. Cependant,
ils disposent des jours fériés et d’autres moments où ils peuvent se
vouer à l’œuvre missionnaire et faire ainsi du bien, s’ils ne peuvent
pas donner beaucoup de leurs revenus.
Ibid., 461, 462
.
Lorsque vous avez un jour férié, faites-en un jour de joie pour
vos enfants, pour les pauvres et ceux qui souffrent. Que ce jour ne
passe pas sans que vous exprimiez votre reconnaissance à Jésus et
lui apportiez votre offrande.
Ibid., 462
.
[128]
Anniversaires : Une occasion de louer Dieu
Sous la dispensation juive, à la naissance d’un enfant, on ap-
portait une offrande à Dieu, conformément à Ses prescriptions. De
nos jours, on voit certains parents s’imposer de réels sacrifices pour
offrir des cadeaux d’anniversaire à leurs enfants, en quelque sorte
pour les honorer, comme si l’être humain devait être honoré. Dans ce
domaine aussi Satan est arrivé à ses fins : il a détourné nos pensées
et nos présents vers les hommes, de sorte que les enfants ne pensent
qu’à eux, comme s’ils méritaient d’être l’objet d’une faveur spéciale.
...
Ibid., 459
.