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Événements des derniers jours
898.
Les plaies tombaient sur les habitants de la terre. Certains
accusaient Dieu et le maudissaient. D’autres se précipitaient vers
le peuple de Dieu et le suppliaient de leur donner des instructions
pour leur permettre d’échapper à ses jugements. Mais les saints ne
leur étaient d’aucun secours. La dernière larme pour les pécheurs
avait été versée, la dernière prière offerte dans l’agonie, le dernier
fardeau avait été porté, le dernier avertissement avait été donné. —
Early Writings, 281
(1858) —
Premier écrits, 281
.
La troisième plaie
899.
Je vis que les quatre anges devaient retenir les vents jusqu’à
ce que Jésus termine son œuvre dans le sanctuaire, et c’est alors
seulement que viendraient les sept dernières plaies. Ces plaies ex-
citaient la colère des réprouvés contre les justes ; ils pensaient que
nous avions attiré sur eux les jugements divins et que, s’ils pouvaient
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se défaire de nous, alors les plaies seraient arrêtées. Un décret fut
promulgué pour tuer les saints, ce qui les amena à réclamer jour et
nuit leur délivrance. —
Early Writings, 36, 37
(1851) —
Premier
écrits, 36, 37
.
900.
“Le troisième versa sa coupe dans les fleuves et dans les
sources d’eaux. Et ils devinrent du sang.”
Apocalypse 16 :4
. Si
terribles que soient ces fléaux, la justice de Dieu demeure fermement
revendiquée. L’ange de Dieu déclare en effet : “Tu es juste, toi qui es
et qui étais ; tu es saint parce que tu as exercé ce jugement. Car ils ont
versé le sang des saints et des prophètes, et tu leur as donné du sang
à boire : ils en sont dignes.”
Apocalypse 16 :2-6
. En condamnant le
peuple de Dieu à mort, ils s’étaient rendus coupables de leur sang
aussi sûrement que s’ils l’avaient versé de leurs propres mains. —
The Great Controversy, 628
(1911) —
La tragédie des siècles, 681
.
La quatrième plaie
901.
Lors de la plaie suivante, le pouvoir est donné au soleil “de
brûler les hommes par le feu ; et les hommes furent brûlés par une
grande chaleur”
Apocalypse 16 :8, 9
. Les prophètes décrivent l’état
de la terre en ces temps terribles : “Les champs sont ravagés [...] Car
les blés sont détruits [...] Tous les arbres des champs sont flétris [...]