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Événements des derniers jours
célestes, les anges merveilleux chantant et jouant sur leurs harpes à
dix cordes ! — Lettre 3, 1851.
1045.
Il m’est impossible de décrire les choses merveilleuses
que j’ai vues là. Oh ! si je pouvais parler la langue de Canaan, alors
je pourrais évoquer un peu la gloire de ce monde meilleur. —
Early
Writings, 19
(1851) —
Premier écrits, 19
.
1046.
Le langage humain est décidément trop faible pour tenter
de décrire les cieux. A ce spectacle, je suis ravie d’étonnement.
Ravie dans une splendeur excessive et une gloire infinie, je pose ma
plume et je m’écrie : “Oh, quel amour ! quel amour merveilleux !”
[218]
Même le langage le plus exalté ne peut bien décrire la gloire des
cieux et des profondeurs incomparables de l’amour du Sauveur. —
Early Writings, 289
(1858) —
Premier écrits, 289
.
1047.
Le langage humain est impropre à décrire la récompense
des justes. Ne la connaîtront que ceux qui la contempleront. Aucun
esprit fini ne peut comprendre la gloire du paradis de Dieu. —
The
Great Controversy, 675
(1911) —
La tragédie des siècles, 733
.
1048.
Si nous pouvions avoir ne serait-ce qu’un aperçu de la cité
céleste, nous ne voudrions jamais revenir sur la terre. —
The Signs
of the Times, 8 avril 1889
.
Fleuves, collines et arbres
1049.
Là, nous avons aperçu l’arbre de la vie et le trône de Dieu.
Du trône sortait un fleuve d’eau pure, et, de chaque côté du fleuve,
se trouvait l’arbre de la vie. D’un côté du fleuve se trouvait un
tronc d’arbre, et un autre tronc se trouvait également de l’autre côté,
tous deux d’or pur et transparent. Je pensais d’abord que je voyais
deux arbres. Puis je les observai à nouveau, et constatai qu’ils se
rejoignaient au-dessus en un seul arbre. Tel était l’arbre de la vie de
chaque côté du fleuve de la vie. Ses branches s’inclinaient jusqu’à
l’endroit où nous nous trouvions, et son fruit était merveilleux ; il
ressemblait à de l’or mêlé d’argent. —
Early Writings, 17
(1851) —
Premier écrits, 17
.
1050.
On aperçoit des fleuves intarissables, comme du cristal,
et, sur leurs berges, des arbres aux frondaisons ondoyantes donnent
leur ombre aux sentiers préparés pour les rachetés du Seigneur.
Là, les plaines immenses sont parsemées de belles collines, et les