Page 76 - fr_EDJ(LDE)

Basic HTML Version

72
Événements des derniers jours
bière, vin et toutes les boissons alcoolisées — ne doivent pas être
pris avec modération, mais exclus de notre alimentation. —
Selected
Messages 3 :287
(1881).
268.
La vraie tempérance nous enseigne à nous abstenir entière-
ment de ce qui fait du mal et à user judicieusement de ce qui est sain.
Patriarches et prophètes, 562
(1890) —
Patriarches et prophètes,
549
.
269.
L’air pur, le soleil, la sobriété, le repos, l’exercice, un régime
approprié, l’usage de l’eau, la confiance dans le pouvoir divin : voilà
quels sont les vrais remèdes. —
The Ministry of Healing, 127
(1905)
Le ministère de la guérison, 102
.
270.
Tout ce qui affaiblit la santé, diminue aussi non seulement
la vigueur physique, mais tend à affaiblir les puissances mentales
et morales. La complaisance dans quelque pratique malsaine que
ce soit rend la discrimination entre le bien et le mal plus difficile,
[66]
et, par conséquent, affaiblit la résistance au mal. —
The Ministry of
Healing, 128
(1905) —
Le ministère de la guérison, 103
.
Revenir au régime originel
271.
Dieu cherche à nous ramener, pas à pas, vers son plan
originel — à savoir, que l’homme devrait vivre des produits naturels
de la terre. Parmi ceux qui attendent la venue du Seigneur, l’habitude
de manger de la viande doit être en fin de compte abandonnée ; la
viande ne figurera plus à leur menu. Nous devrions y tendre et
travailler fermement en ce sens. —
Counsels on Health, 450
(1890).
272.
De plus grandes réformes devraient émerger parmi le peuple
qui prétend attendre la prochaine apparition du Seigneur. La réforme
sanitaire doit accomplir parmi nous une œuvre qui n’a pas encore
été réalisée. Il y a ceux qui devraient être avertis du danger qu’il
y a à consommer de la viande et qui continuent à manger la chair
des animaux, mettant ainsi en péril leur santé physique, mentale
et spirituelle. Beaucoup de ceux qui ne sont encore qu’à moitié
convertis sur la question de la consommation de viande quitteront le
peuple de Dieu, et ne marcheront plus avec lui. —
The Review and
Herald, 27 mai 1902
.