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Événements des derniers jours
avec de mauvais camarades, ils acquièrent des habitudes de vice
et de dissipation. —
Testimonies for the Church 5 :232
(1882) —
Testimonies for the Church 2 :83
.
335.
Envoyez les enfants dans des écoles situées dans les villes
où toutes sortes de tentations les attendent pour les attirer et les
pervertir, et vous constaterez que l’édification du caractère devient
dix fois plus difficile à la fois pour les parents et pour les enfants. —
Fundamentals of Christian Education, 326
(1894).
[78]
336.
Les villes sont remplies de tentations. Nous devrions or-
ganiser notre travail de telle façon que nos enfants échappent à
cette contamination. —
The Adventist Home, 136
(1902) —
Foyer
chrétien, 129
.
337.
Le temps est venu pour notre peuple d’habiter hors des
villes dans des localités retirées, sans quoi de nombreux jeunes, et
aussi de nombreux individus plus âgés, seront pris dans les pièges
de l’ennemi. —
Testimonies for the Church 8 :101
(1904).
338.
Il n’est pas une famille sur cent qui se trouvera dans une
meilleure condition physique, mentale ou spirituelle du fait qu’elle
habite dans une ville. La foi, l’espérance, l’amour, le bonheur sont
d’un accès bien plus facile dans des lieux retirés, au milieu des
champs, des collines et des arbres. Éloignez vos enfants de la vue et
du bruit de la ville, du tintamarre et du vacarme des tramways et des
attelages, et leurs esprits seront plus sains. On se rendra compte qu’il
est plus facile de familiariser leurs cœurs avec la vérité de la Parole
de Dieu. —
The Adventist Home, 137
(1905) —
Foyer chrétien,
131
.
Un environnement rural assure une meilleure santé
339.
Ce n’est pas la volonté de Dieu que son peuple s’installe
dans les villes, où règnent constamment l’agitation et la confusion.
Épargnons ces choses à nos enfants, car tout le système nerveux est
ébranlé par la hâte, la précipitation et le bruit. —
Selected Messages
2 :357
(1902) —
Messages choisis 2 :410
.
340.
Il y a beaucoup de personnes qui vivent dans les villes et
n’ont pas un seul petit espace vert pour y poser les pieds, qui, année
après année, n’ont d’autre vue que des cours sales, des couloirs
étroits, des murs de brique et des pavés, des ciels assombris par