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Appendice A — Ellen G. White, ouvrier de la
tempérance
J’ai été chargée de parler de la tempérance
— En tant que
messagère du Seigneur, j’ai dû parler aussi de la tempérance. On
m’a demandé d’aller dans de nombreux endroits pour traiter ce sujet
devant de grandes assemblées. Pendant de longues années, j’ai été
connue pour mes conférences sur la tempérance. —
Manuscrit 140,
1905
.
Je considère comme un privilège d’avoir pu rendre témoignage
à ce propos devant de nombreuses assemblées et dans beaucoup de
pays. J’ai souvent parlé de ce sujet devant de grandes foules au cours
de nos camps-meetings. —
Lettre 78, 1911
.
Notre manière de présenter le sujet
— Nous avons abandonné
les sentiers battus du conférencier populaire, et nous avons recherché
l’origine de l’intempérance dans le foyer, la nourriture familiale et le
manque de sobriété durant l’enfance. Une nourriture stimulante crée
un besoin de stimulants encore plus forts. L’enfant dont le goût est
ainsi perverti et à qui on n’a pas appris à contrôler son appétit devient
un alcoolique et un fumeur quelques années plus tard. Nous avons
envisagé le problème en prenant ces considérations comme point de
départ. Nous avons montré aux parents qu’ils ont le devoir de donner
à leurs enfants une vue exacte de la vie et des responsabilités de
chacun et de poser les bases qui leur assureront un caractère chrétien
et intègre. Pour qu’elle réussisse pleinement, la grande tâche de la
réforme doit débuter au foyer. —
The Review and Herald, 23 août
1877
.
Une grande assemblée en faveur de la tempérance à Kokomo,
Indiana
— Le rédacteur du journal “Le Courrier de Kokomo” se
rendit sur place le sabbat. Il fit savoir par des annonces que nous
devions parler de la tempérance chrétienne sur les lieux du camp, le
dimanche après-midi. ... Trois trains spéciaux pour les excursions
amenèrent beaucoup de monde sur les lieux. Les gens d’ici s’in-
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téressent vivement au problème de la tempérance. A 14h 30, nous
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