Page 218 - Vous recevrez une Puissance (1995)

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Des gens comme vous et moi qualifies pour servir, 19 juillet
Mais l’Eternel dit à Samuel : Ne prends pas garde à son apparence et à sa
haute taille, car je l’ai rejeté. (Il ne s’agit) pas de ce que l’homme
considère ; l’homme regarde à (ce qui frappe) les yeux, mais l’Eternel
regarde au cœur.
1 Samuel 16 :7
.
Dieu n’accueille pas les hommes en fonction de leurs capacités, mais parce
qu’ils recherchent sa face et réclament son appui. Dieu ne voit pas comme voient
les hommes. Il ne juge pas selon les apparences. Il cherche à atteindre le cœur et
juge avec droiture. “Voici sur qui je porterai mes regards : sur le malheureux qui
a l’esprit abattu, qui tremble à ma parole.”
Ésaïe 66 :2
.
Il accueille ses humbles disciples et il communique avec eux ; parce qu’en
eux, il discerne le matériau le plus précieux, celui qui résistera à la force de la
tempête et des courants, à l’ardeur du soleil et à la contrainte.
Notre objectif, en travaillant pour le Maître, devrait être de rechercher la
gloire de son nom par la conversion des pécheurs. Ceux qui agissent en vue
d’obtenir des applaudissements ne sont pas approuvés de Dieu.
Le Seigneur a recours à des dons différents dans l’œuvre du salut des pé-
cheurs. Dans l’avenir, des hommes simples seront poussés par l’Esprit de Dieu
à quitter leur emploi pour partir et proclamer le dernier message de la grâce.
Ils doivent être fortifiés et encouragés, et préparés pour l’action aussi vite que
possible, afin que le succès puisse couronner leurs efforts. Ils coopèrent avec des
agents célestes et invisibles parce qu’ils ont le désir de se consacrer au service
du Maître. Ils sont ouvriers avec Dieu et leurs frères devraient leur souhaiter
bon vent, priant pour eux alors qu’ils s’avancent en vue d’accomplir leur grande
mission. Nul n’est autorisé à entraver l’action de tels ouvriers. Ils doivent être
traités avec le plus grand respect. Aucun propos méprisant ne doit être prononcé
à leur sujet alors qu’ils répandent la semence de l’Evangile sur les chemins
raboteux de la terre.
The Review and Herald, 4 juillet 1907
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