Page 373 - Vous recevrez une Puissance (1995)

Basic HTML Version

Nos victoires sont sources de joie pour le ciel, 14 décembre
De même, je vous le dis, il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul
pécheur qui se repent, que pour quatre-vingt-dix neuf justes qui n’ont pas
besoin de repentance.
Luc 15 :7
.
Les agents de Satan sont sans cesse en guerre en vue de maîtriser l’esprit
humain, mais les anges de Dieu sont à l’œuvre, fortifiant les mains fragiles et
les genoux tremblants de tous ceux qui appellent Dieu à leur aide. Telle est la
promesse de Dieu à chacun de ses enfants : “Car quiconque demande reçoit,
celui qui cherche trouve, et l’on ouvrira à celui qui frappe.”
Matthieu 7 :8
. [...]
Le Seigneur a été servi par des hommes et des femmes au cœur sincère,
ayant conclu une alliance avec lui en son sacrifice. Ils ont su conserver leur
intégrité et ne se sont pas souillés avec le monde. Ils ont laissé la lumière de la
vie réduire à néant les desseins du Malin. Des êtres humains sont-ils aujourd’hui
prêts à assumer leur rôle en résistant au diable ? S’ils le font, ce dernier fuira
loin d’eux. Des anges prêts à faire pour vous ce que vous ne pouvez faire par
vous-mêmes attendent votre participation. Ils attendent que vous répondiez à
l’appel du Christ. Rapprochez-vous de Dieu et les uns des autres. De toutes vos
forces, par la prière et l’opposition au pouvoir de Satan, soumettez votre volonté
à celle de Dieu. Si vous avez un désir sincère de résister au diable et si vous
priez avec ferveur : “Délivre-moi de la tentation”, vous aurez une pleine mesure
de forces pour la journée. C’est le rôle des anges célestes de venir auprès des
hommes souffrants, livrés aux épreuves et aux tentations. Ils travaillent sans
relâche à sauver les âmes pour lesquelles le Christ est mort. Et quand une âme
apprécie leurs bienfaits, quand elle soumet sa volonté à celle du Christ, les anges
vont annoncer la nouvelle dans les cieux. De retour dans les parvis célestes, ils
racontent ce qu’ils ont fait et toute l’armée des cieux se réjouit.
The Review and
Herald, 4 juillet 1899
.
[358]
369