User de souplesse dans les méthodes
111
d’atteindre les hommes et les femmes de ce monde. —
Manuscrit
117
(Publ. 1907) ;
Le ministère de la bienfaisance, 74
.
La puissance de Dieu limitée par l’homme
— L’idée selon
laquelle un homme devrait faire la loi à lui tout seul est totalement
irréalisable. Cela n’est pas conforme au plan du Seigneur. ... Quand
un homme pense qu’il lui appartient de prendre lui-même les grandes
décisions intéressant notre œuvre, et que celle-ci s’accomplit surtout
grâce à ses compétences, il limite par là même la puissance de Dieu
dans la réalisation de ses desseins sur la terre.
[103]
Notre Père céleste demande des hommes et des femmes qui
travailleront dans la simplicité du Christ pour faire connaître la
vérité à ceux qui ont besoin de sa puissance transformatrice. Mais
quand on dicte la ligne précise que les ouvriers doivent suivre pour la
proclamation du message, on réduit l’efficacité d’un grand nombre
d’ouvriers. —
Lettre 404, 1907
.
Ouverture d’esprit
— Ceux qui sont au service de Dieu doivent
faire preuve d’une grande ouverture d’esprit ; autrement dit, ce
doivent être des hommes sans préjugés, qui n’ont pas de marottes,
qui évitent les sentiers battus et qui sont capables de comprendre que
leur langage et leur présentation de la vérité ont besoin d’être adaptés
au type de gens au milieu desquels ils vivent et aux circonstances
dans lesquelles ils se trouvent. —
Lettre 12, 1887
.
A public différent, méthodes différentes
— N’oublions pas
qu’il nous faut employer des méthodes diversifiées si nous voulons
toucher à salut différentes catégories de personnes. —
The Review
and Herald, 14 avril 1903
.
Vous avez un champ difficile à travailler, mais l’Évangile est
une puissance de Dieu. Votre méthode de travail doit être adaptée
au genre de personnes auxquelles vous avez affaire. —
Lettre 97a,
1901
.
Ne pas démolir le travail de nos collègues
— Souvenons-nous
que nous sommes ouvriers avec Dieu ; il est le Tout-Puissant, la
source de toute force. Ses serviteurs sont ses instruments. Ils ne
doivent pas tirer à hue et à dia, chacun travaillant à son idée ; mais
ils doivent au contraire œuvrer dans l’harmonie, s’accordant les uns
aux autres dans un esprit de bienveillance, de respect, de fraternité
et d’amour mutuels. Il ne saurait être question de se livrer à une
critique malveillante et de démolir le travail de ses collègues. Les