Page 170 - Conseils

Basic HTML Version

166
Conseils á L’Eglise
saint pour l’Eternel, ton Dieu ; l’Eternel, ton Dieu, t’a choisi, pour
que tu fusses un peuple qui lui appartînt entre tous les peuples qui
sont sur la face de la terre... .”
Le Nouveau Testament contient de semblables interdictions
contre le mariage des croyants avec des incroyants. L’apôtre Paul,
dans sa première épître aux Corinthiens, déclare : “Une femme est
liée aussi longtemps que son mari est vivant ; mais si le mari meurt,
elle est libre de se marier à qui elle veut ; seulement que ce soit dans
le Seigneur.”
1 Corinthiens 7 :39
. Puis, dans sa seconde épître il
écrit : “Ne vous mettez pas avec les infidèles sous un joug étranger.
Car quel rapport y a-t-il entre la justice et l’iniquité ? Ou qu’y a-t-il
de commun entre la lumière et les ténèbres ? Quel accord y a-t-il
entre Christ et Bélial ? Ou quelle part a le fidèle avec l’infidèle ?
Quelle ressemblance y a-t-il entre le peuple de Dieu et les idoles ?
Car nous sommes le temple du Dieu Vivant, comme Dieu l’a dit :
J’habiterai et Je marcherai au milieu d’eux, Je serai leur Dieu et
ils seront Mon peuple. C’est pourquoi, sortez du milieu d’eux, et
séparez-vous, dit le Seigneur ; ne touchez pas à ce qui est impur,
et je vous accueillerai. Je serai pour vous un Père, et vous serez
pour moi des fils et des filles, dit le Seigneur Dieu Tout-Puissant.”
2
Corinthiens 6 :14-18
.
Ibid., 59, 60
.
Les enfants de Dieu ne devraient jamais s’aventurer sur un ter-
rain défendu. Les mariages entre croyants et incroyants sont interdits
par Dieu. Mais souvent le cœur inconverti suit ses propres désirs, et
des mariages désapprouvés par Dieu sont ainsi contractés. De ce fait,
un grand nombre d’hommes et de femmes vivent dans ce monde
sans espérance et sans Dieu. Leurs nobles aspirations sont détruites ;
un concours de circonstances les maintient dans les pièges de Sa-
tan. Ceux qui se laissent dominer par la passion et les impulsions
récolteront dans cette vie une amère moisson, et leur comportement
risque d’entraîner la perte de leur âme.
Ibid., 61
.
[97]
Ceux qui prétendent suivre la vérité foulent aux pieds la volonté
de Dieu en épousant des incroyants. Ils perdent sa faveur et rendent
la repentance bien difficile. L’incroyant peut être d’une excellente
moralité ; mais le fait qu’il (elle) n’ait pas répondu aux appels de
Dieu et qu’il (elle) ait négligé un si grand salut doit suffire pour faire
renoncer au mariage. Le caractère de l’incroyant peut ressembler