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Pour un bon Équilibre Mental et Spirituel 1
son père était chose si rare que le récit sacré en fait mention : “Et
Haran mourut en présence de Térach, son père.” A peu d’exceptions
près, les patriarches, d’Adam à Noé, vécurent presque mille ans.
Depuis lors, la moyenne de la longévité a diminué sans cesse.
Déjà à l’époque du Christ, la race humaine était si dégénérée
que de toutes les villes on apportait au Sauveur des malades non
seulement âgés, mais des adultes et des jeunes, afin qu’il les guérît.
Christian Temperance and Bible Hygiene, 7, 8 (1890)
.
Manuscrit,
139, 140
.
Rompre avec les mauvaises habitudes des parents.
— La ma-
ladie a toujours une cause. La négligence des lois de la santé lui
ouvre la voie. Beaucoup souffrent par suite des fautes de leurs pa-
rents. Bien qu’ils ne soient pas responsables des actions de ces
derniers, leur devoir est néanmoins de s’assurer qu’ils ne violent pas
eux-mêmes les lois de la santé. Qu’ils rompent avec les mauvaises
habitudes de leurs parents, et suivent un bon mode de vie pour se
placer dans les meilleures conditions possible. —
Le ministère de la
guérison, 201
(1905).
Les maladies pullulent.
— Nos ancêtres nous ont transmis des
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habitudes et des inclinations qui remplissent le monde de maladies.
A cause des désirs malsains, les péchés des parents exercent une re-
doutable influence sur les enfants jusqu’à la troisième et la quatrième
génération. La mauvaise façon de se nourrir pratiquée par de nom-
breuses générations, la gloutonnerie et les habitudes de laxisme des
gens ont pour effet de remplir nos hospices, nos prisons et nos asiles
d’aliénés. L’usage immodéré du thé, du café, du vin, de la bière,
du rhum, de l’eau-de-vie, l’usage du tabac, de l’opium et d’autres
narcotiques ont eu pour conséquence une profonde dégénérescence
mentale et physique, et cette dégénérescence ne cesse de s’aggraver.
The Review and Herald, 29 juillet 1884
.
Counsels on Health, 49
.
Un héritage indésirable.
— Pour certains, il est tout à fait dan-
gereux d’avoir du vin ou du cidre à la maison. Ils ont hérité une
appétence pour des stimulants auxquels Satan les pousse continuel-
lement à s’adonner. S’ils cèdent à ses tentations, ils ne s’arrêtent
pas là ; les désirs exigent d’être satisfaits, et ces gens y consentent
pour leur ruine. Le cerveau est engourdi et obscurci ; la raison ne se
contrôle plus et ils sont esclaves de leur passion. —
Testimonies for
the Church 5 :356, 357
(1885).