Page 279 - Pour un bon

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Dangers menaçant les jeunes
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de la danse. Mais l’acte du roi David n’a pas le moindre rapport avec
les danses nocturnes et sensuelles de notre époque, divertissement
où l’on sacrifie au plaisir sa santé et sa moralité. Les habitués du bal
et des salles de danse ne songent pas à adorer Dieu. La prière et les
cantiques y seraient déplacés.
Le test doit être décisif. Les chrétiens ne peuvent participer à
des amusements qui ont tendance à diminuer leur amour des choses
saintes et leur joie dans le service de Dieu. La musique et les danses
offertes à Dieu en acte de louanges, lors du transfert de l’arche,
n’avaient rien de commun avec la dissipation qui caractérise la danse
moderne. D’un côté, on s’attachait à glorifier Dieu ; de l’autre, on
adopte une invention de Satan ayant pour but d’inciter les hommes à
l’oublier et à le déshonorer. —
Patriarches et prophètes, 687
(1890).
Les enfants de Dieu et les plaisirs du monde.
— L’ennemi
cherche de mille et une manières à détourner notre esprit de la Parole.
Nombreux sont ceux qu’il pousse à trouver leur satisfaction dans
des amusements et des loisirs qui plaisent au cœur charnel. Mais les
vrais enfants de Dieu ne cherchent pas leur bonheur dans ce monde ;
ils aspirent aux joies durables d’une patrie dans la cité éternelle où le
Christ habite et où les rachetés recevront leur récompense pour avoir
été fidèles aux exigences divines. Ils ne désirent pas les amusements
passagers et de pacotille que cette vie leur offre, mais le bonheur
durable du ciel. —
Manuscrit 51, 1912, p.1
.
Our High Calling 284
.
Pensées vaines et conversations futiles.
— Pourquoi ne pas
garder nos esprits fixés sur les richesses insondables du Christ afin de
pouvoir présenter aux autres les joyaux de la vérité ? ... On ne saurait
y parvenir aussi longtemps que l’on se laisse aller à l’indolence, à
la perplexité, que l’on est sans cesse en quête de quelque chose qui
satisfasse uniquement les sens, qui distraie et qui déclenche le fou
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rire... Nous ne devrions pas fixer nos esprits sur de telles choses,
alors que d’insondables richesses sont à notre disposition. Il nous
faudra l’éternité entière pour comprendre les splendeurs de la gloire
de Dieu et de Jésus Christ.
Mais les esprits qui sont occupés à des lectures vaines, qui s’in-
téressent à des récits palpitants, et recherchent des amusements ne
contemplent pas le Seigneur et ils ne sauraient se réjouir de la pléni-
tude de son amour. Celui qui se complaît dans des pensées frivoles
et des conversations futiles est dépourvu de la joie du Christ comme