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Pour un bon Équilibre Mental et Spirituel 1
tuer ce qu’il a pris ; mais les cicatrices d’une conscience traumatisée
ne disparaîtront jamais. —
The Signs of the Times, 7 févr. 1884
.
The
S.D.A. Bible Commentary 3 :1158
.
Le pouvoir de la grâce.
— Lorsque le péché cherche à nous
dominer, lorsque le sentiment de notre culpabilité nous oppresse
et charge notre conscience, lorsque le doute assombrit notre esprit,
souvenons-nous que la grâce du Christ suffit pour nous assurer la
victoire et dissiper les ténèbres. En communiant avec le Sauveur,
nous entrons dans le royaume de la paix. —
Le ministère de la
guérison, 215
(1905).
Un vrai renouveau.
— Je vous avertis une fois de plus comme
quelqu’un qui doit confronter les registres au jour où le cas de
chacun sera jugé. Soumettez-vous au Christ sans délai ; lui seul,
par le pouvoir de sa grâce, peut vous sauver de la ruine. Lui seul
peut régénérer vos facultés morales et mentales. Votre cœur peut être
animé de l’amour de Dieu, votre intelligence peut être lucide et mûre,
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votre conscience, éclairée, éveillée et pure, votre volonté droite et
sanctifiée, soumise à l’Esprit de Dieu. Vous pourrez faire ce que
vous aurez choisi. Si vous faites volte-face, si vous cessez de faire le
mal et apprenez à faire le bien, vous serez vraiment heureux ; vous
réussirez dans les combats de l’existence et vous recevrez gloire
et honneur dans la vie meilleure. “Choisissez aujourd’hui qui vous
voulez servir”
Josué 24 :15
. —
Testimonies for the Church 2 :564,
565
(1870).
Ne pas s’immiscer dans la conscience des autres.
— Lorsqu’il
s’agit des choses de Dieu, la conscience est un trésor sacré, dans
lequel nul être humain, quelle que soit sa position, n’a le droit de
s’immiscer. Neboukadnetsar mit de nouveau les Hébreux à l’épreuve,
et devant leur refus, il entra dans une grande colère et ordonna que
la fournaise fut chauffée sept fois plus fort qu’à l’habitude, et il dit
aux captifs qu’il les y ferait jeter. A quoi les Hébreux répondirent,
pleins de foi et d’assurance : Le Dieu que nous servons a le pouvoir
de nous délivrer ; sinon, eh bien ! nous nous en remettons à la fidélité
de Dieu. —
Letter 90, 1897
.
La conscience de l’un ne saurait être un critère pour les
autres.
— Dieu ne veut pas que vous utilisiez votre conscience
pour servir de critère à d’autres. Vous avez un devoir à accomplir,
qui consiste à rester serein, et à cultiver votre désintéressement au