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Messages choisis volume 1
Vous avez beaucoup coûté. “Glorifiez donc Dieu dans votre
corps.”
1 Corinthiens 6 :20
. Ce que vous pourriez être tentés de
considérer comme votre propriété appartient à Dieu. Prenez soin de
ce qui est à lui. Il vous a rachetés à un prix infini. Votre intelligence
lui appartient. Quel droit peut avoir une personne quelconque d’abu-
ser de son corps, puisque celui-ci ne lui appartient pas à elle-même,
mais au Seigneur Jésus-Christ ? Quelle satisfaction peut-on s’accor-
der qui ait pour effet d’amoindrir les forces du corps et de l’esprit
en s’assujettissant à n’importe quel vice ?
Dieu a donné un cerveau à tout être humain. Il désire que cet
organe soit employé à sa gloire. Grâce à lui, l’homme est à même de
joindre ses efforts à ceux de Dieu pour sauver des mortels, ses sem-
blables, qui périssent. Nous ne possédons pas en excès des facultés
mentales. A nous de développer et d’exercer chaque faculté mentale,
chaque force corporelle, pour en faire le meilleur usage possible.
Nous devons tout faire pour fortifier ces facultés ; en effet, Dieu a
plaisir à nous voir toujours plus efficients dans la collaboration que
nous lui apportons.
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C’est au sujet de ceux qui font fidèlement leur part qu’il est
dit : “Nous sommes ouvriers
avec
Dieu.”
1 Corinthiens 3 :9
. Sans
l’assistance divine l’homme ne peut faire grand-chose ; mais le Père
céleste et son Fils sont prêts à œuvrer par le moyen de quiconque
veut se consacrer entièrement sur l’autel du service. Chacun de mes
auditeurs peut coopérer avec Dieu, et lui offrir un service acceptable.
Le Seigneur désire que chacun de nous entre en ligne. A chacun il a
assigné une tâche suivant ses capacités....
Expérience personnelle
J’avais dix-sept ans, et tous mes amis me considéraient une
invalide à vie à la suite d’un grave accident, quand un céleste visiteur
vint me dire : “Je vais te charger d’un message.” Je me disais qu’une
erreur avait sûrement été commise quelque part. Mais la même
parole me fut répétée : “Je vais te charger d’un message. Ecris pour
le public ce que je vais te dire.” Jusqu’à ce moment-là, ma main
tremblante avait été incapable de tracer une ligne. Je répondis : “Je
ne puis, je ne puis.” “Ecris ! écris !” fut l’ordre réitéré. Je pris plume
et papier et commençai à écrire ; impossible de se faire une idée de