Aliments carnés et stimulants
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qu’elle soit appétissante. En tout cas, laissez de côté la graisse qui
diminue la valeur de vos plats. Mangez beaucoup de fruits et de
légumes.
Les risques de maladies augmentent
Après avoir réduit leurs forces physiques en diminuant la quantité
et la qualité de leur nourriture, certaines personnes concluent que leur
ancienne manière de s’alimenter était la meilleure. L’organisme doit
être nourri. Cependant, nous n’hésitons pas à dire que la viande n’est
pas nécessaire à la santé. C’est le fait d’un appétit dépravé de l’exiger.
Son usage excite les tendances animales et renforce les passions. Il
s’ensuit une diminution de vigueur intellectuelle et morale. Le corps
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devient sans cesse plus grossier et l’esprit s’obscurcit.
Ceux qui se préparent à être saints, purs et sans tâche afin d’en-
trer bientôt dans la compagnie des anges vont-ils continuer à ôter la
vie à des créatures de Dieu pour se nourrir de leur chair et en jouir
avec volupté ? D’après ce que le Seigneur m’a montré, cet ordre de
choses changera et le peuple de Dieu s’imposera toute sorte d’abs-
tinences. Ceux qui consomment de grandes quantités de viande ne
peuvent éviter de manger la chair d’animaux plus ou moins malades.
Les procédés d’élevage des animaux engraissés pour la boucherie
augmentent le nombre de bêtes malades, et seraientils élevés de la
meilleure manière la viande n’en serait pas moins échauffée et mal-
saine à cause du trajet accompli de la ferme au marché. Les humeurs
et la chair de ces animaux malades passent directement dans le sang
de l’homme et deviennent humeurs et chair de même qualité. Ainsi,
des maladies s’introduisent dans l’organisme et, si la personne a
déjà un sang impur, la consommation de cette viande aggrave sé-
rieusement la situation. Les risques de maladies sont augmentés
dix fois par l’usage de la viande. Cette habitude diminue les forces
physiques, intellectuelles et morales. Elle introduit le déséquilibre
dans l’organisme, obscurcit l’esprit et émousse le sens moral. Nous
vous assurons, cher frère et chère sœur, que vous ferez bien de laisser
la viande de côté.