Page 207 - Avec Dieu chaque jour (2003)

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Ne doutez pas, 30 juin
Nous savons [...] que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment
Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein.
Romains 8 :28
Quand les épreuves surviennent, souvenez-vous qu’elles sont envoyées pour
votre bien. [...] Quand les épreuves et les tribulations viennent à vous, elles
vous sont envoyées pour que vous puissiez recevoir du Dieu de gloire des forces
renouvelées et une plus grande humilité, de sorte qu’il puisse vous bénir, vous
soutenir, vous protéger. Dans la foi et avec l’espoir qui “ne rend pas confus”,
cramponnonsnous aux promesses de Dieu.
Oh ! combien le Seigneur est bon pour tous et comme nous pouvons nous
confier en lui en toute sécurité. Il nous appelle ses petits enfants. Alors allons
vers lui comme vers un tendre Père. Il désire que les rayons lumineux de sa
justice resplendissent sur nos visages, dans nos paroles et dans nos actions. Si
nous nous aimons les uns les autres comme le Christ nous a aimés, les barrières
qui nous séparent de Dieu et de nos semblables disparaîtront et tous les obstacles
qui empêchent le Saint-Esprit de se déverser de cœur à cœur seront supprimés.
[...] Confiez-vous en Dieu de toute votre âme et il se chargera de vous et de vos
fardeaux
Le Seigneur désire que son peuple soit heureux ; il fait naître devant nous, les
unes après les autres, des sources de consolation, afin que nous soyons remplis
de joie et de paix dans les difficultés présentes. N’attendons pas d’être au ciel
pour connaître la joie et la consolation ! Jouissons de ces dons dès ici-bas. [...]
Nous sommes privés de grands privilèges parce que nous ne nous emparons
pas des bénédictions qui découlent de nos malheurs. Toutes nos souffrances
et toutes nos tristesses, toutes nos tentations et toutes nos épreuves, toutes nos
persécutions et toutes nos misères, en un mot, toutes choses concourent à notre
bien. Sachons voir la lumière resplendir derrière les nuages
Notre bonheur ne provient pas de notre entourage mais de notre être intérieur ;
il ne découle pas de ce que nous avons, mais de ce que nous sommes
[196]
[197]
91. Lettre 13, 1904
92.
The Review and Herald, 27 fév. 1894
93.
The Youth’s Instructor, 23 janv. 1902
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