Page 171 - Avec Dieu chaque jour (2003)

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La paix dans la conscience du bien, 26 mai
Il y a beaucoup de paix pour ceux qui aiment ta loi, et il ne leur arrive
aucun malheur.
Psaumes 119 :165
Un esprit, rendu libre et heureux par la conscience d’une bonne conduite
et la satisfaction du bonheur procuré aux autres, engendre une joie qui réagit
sur tout le système nerveux, facilitant ainsi la circulation du sang et fortifiant
le corps tout entier. La bénédiction de l’Éternel a le pouvoir de guérir, et ceux
qui sont enclins à prodiguer leur aide aux autres ressentiront cette merveilleuse
bénédiction à la fois dans leur cœur et dans leur vie
Les chrétiens qui suivent le chemin de la sagesse et de la sainteté ne seront
ni troublés par de vains regrets à la pensée des heures qu’ils auront gaspillées, ni
affectés par un esprit sombre et abattu comme ceux qui se sont engagés en pure
perte dans des plaisirs frivoles. [...]
Les divertissements excitent l’esprit, mais entraînent fatalement la dépression.
Le travail utile et l’exercice physique ont sur l’esprit une influence bien autrement
salutaire ; ils fortifient les muscles, favorisent la circulation et s’avèrent des agents
puissants de guérison. [...]
La conscience d’une bonne conduite est le meilleur remède pour les corps et
pour les esprits en mauvais état de santé. La santé et la force sont la bénédiction
spéciale que l’Éternel fait reposer sur celui qui le reçoit
Deux personnes bénéficient de la pratique du bien : le bienfaiteur et l’obligé.
Si vous vous oubliez dans l’intérêt de vos semblables, vous remportez une
victoire sur vos faiblesses. La satisfaction que vous éprouvez en faisant le bien
vous aidera en grande partie à recouvrer la santé de l’esprit. La joie d’être utile
aux autres vivifie les facultés mentales et stimule tout le corps
* * * * *
Celui qui se repose en Dieu est sur le chemin de la santé
[160]
116.
Christian Temperance and Bible Hygiene, 13
117.
The Health Reformer, mars 1872
118.
Testimonies for the Church 2 :534
119.
The Review and Herald, 11 mars 1880
167