Page 52 - fr_EDJ(LDE)

Basic HTML Version

48
Événements des derniers jours
actuel des choses
Testimonies to Ministers and Gospel Workers,
342 (1896)
Les dirigeants peu sages ne parlent pas de la part de Dieu
151.
La voix qui vient de Battle Creek, qui a été considérée
comme une autorité lorsqu’elle donnait son conseil sur la meilleure
façon d’accomplir l’œuvre de Dieu, n’est plus la voix de Dieu. —
Manuscript Releases 17 :185
(1896)
152.
Voilà plusieurs années que je ne considère plus la Confé-
rence générale comme la voix de Dieu.
153.
Le temps où nous considérions ces hommes de la Confé-
rence générale comme se tenant en un endroit sacré pour être la
voix de Dieu pour le peuple, est révolu. —
The General Conference
Bulletin, April 3, 1901
.
[45]
Inutilité d’une nouvelle dénomination
154.
Vous prendrez des passages des
Témoignages
qui parlent
de la fin du temps de probation, du crible qui doit secouer le peuple
de Dieu, et vous parlerez de l’apparition d’un peuple plus pur et
plus saint qui en sortirait. Eh bien, sachez-le : tout cela fait le jeu de
l’ennemi... Si plusieurs entraient dans vos vues et parlaient et agis-
saient d’après vos affirmations, nous assisterions à la manifestation
du mouvement le plus fanatique que nous ayons jamais vu parmi
les adventistes du septième jour. C’est ce que Satan voudrait. —
Selected Messages 1 :179
(1890) —
Messages choisis 1 :210, 211
.
5.
L’Église adventiste du septième jour a été organisée en 1863, avec 3 500 membres,
une demi-douzaine de fédérations locales, environ trente pasteurs, et un comité de la
Conférence générale de trois personnes. Le président de la Conférence générale était
à même de diriger et de conseiller convenablement une aussi petite organisation. Il
pouvait assister personnellement à toutes les réunions importantes et, de plus, accorder
une attention particulière à la plus grande partie du travail effectué pour l’œuvre des
publications. Cependant, aux environs de 1896, l’œuvre de l’Église s’était largement
développée aux États-Unis, et s’étendait à l’Europe, à l’Australie ainsi qu’à l’Afrique. Il
n’était plus possible à un seul homme d’assurer un contrôle satisfaisant et une direction à
une œuvre aussi vaste. Ellen White demanda une division du champ, afin que nos frères
dans le monde entier ne soient pas obligés de ne se tourner que vers un seul homme
pour recevoir le conseil nécessaire. C’est ce qui fut fait grâce à la création de fédérations,
d’unions et de divisions mondiales
.