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L’Église de Dieu dans les derniers jours
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avec lui jusqu’à la fin des temps
Selected Messages 2 :406
(1913) —
Messages choisis 2 :466
.
Une déclaration de W. C. White
175.
Je lui ai dit [à M
me
Lida Scott] comment ma mère consi-
dérait l’expérience de l’Église du reste, et je lui ai fait part de son
enseignement ferme selon lequel Dieu ne permettrait pas que cette
Église apostasie au point que l’apparition d’une nouvelle Église soit
jamais nécessaire. — W. C. White à E.E. Andross, 23 mai 1915,
Fichier des correspondances du White Estate.
Le réveil spirituel est encore nécessaire
176.
Un jour, à midi, j’écrivais mes impressions sur l’œuvre qui
aurait pu être accomplie lors de la dernière Conférence générale [de
1901] si les hommes en place avaient suivi la volonté et la voie de
Dieu. Ceux qui ont reçu de grandes lumières n’ont pas marché dans
la lumière. La rencontre s’est terminée sans aboutir. Ces hommes
ne se sont pas humiliés devant le Seigneur comme ils auraient dû le
faire, et le Saint-Esprit n’a pas été accordé.
177.
J’en étais à ce point lorsque je perdis conscience, et il me
sembla que j’assistais à une scène qui se déroulait à Battle Creek.
178.
Nous étions assemblés dans l’auditorium du Tabernacle.
On offrit la prière, on chanta un cantique, puis on offrit une nouvelle
prière. Les plus ferventes supplications montèrent vers Dieu. La
réunion était empreinte de la présence du Saint-Esprit...
179.
Chacun semblait disposé à mettre de côté son orgueil et à
faire une confession sincère, et ceux qui conduisaient cette expé-
rience spirituelle étaient ceux qui avaient l’influence, mais n’avaient
pas eu auparavant le courage de confesser leurs péchés.
180.
Une joie comme nous n’en avions jamais connue se faisait
sentir dans le tabernacle.
181.
Puis je sortis de mon inconscience, et, pendant un moment,
je ne pus comprendre où j’étais. Ma plume était encore dans ma
8. Ces paroles sont extraites du message final qu’Ellen White adressa à l’Église
adventiste du septième jour lors de la session de la Conférence générale. Ces paroles
rassurantes furent lues à l’assemblée par le président de la Conférence générale, A.G.
Daniells, le 27 mai 1913.