Page 333 - Vous recevrez une Puissance (1995)

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A l’heure ou vous n’y pensez pas, 6 novembre
Prenez garde, veillez et priez, car vous ne savez quand ce sera le moment.
Marc 13 :33
.
Dieu consent que sa puissance de conversion soit ressentie dans toute cette
grande assemblée. Oh ! Si la puissance de Dieu pouvait toucher son peuple !
Nous avons besoin chaque jour d’exercer notre foi, de sonder les Ecritures, de
prier avec ferveur afin que, par la puissance du Saint-Esprit, Dieu prépare chacun
de nous au travail qu’il nous a confié dans cette vigne. Sans le don de l’Esprit,
personne ne peut véritablement éduquer ni fortifier les membres d’Eglise. Sans
ce don, sans une relation étroite avec le Christ et sans une haine intense du péché,
aucun ministre de Dieu n’est apte à travailler avec intelligence au salut des âmes.
[...]
Je ne peux pas préciser l’époque exacte où se produira l’effusion du Saint-
Esprit, c’est-à-dire quand le puissant ange de Dieu descendra des cieux pour
s’unir au troisième ange et achever l’œuvre divine ici-bas. Mon message est le
suivant : “Soyez prêts pour ce divin rafraîchissement, ayez vos lampes allumées
et vous serez en sécurité.” Le Christ nous a recommandé de veiller : “Car le
Fils de l’homme viendra à l’heure où vous n’y penserez pas.”
Matthieu 24 :44
.
“Veillez et priez”, nous exhorte le Rédempteur. Nous devons rechercher chaque
jour le discernement que donne l’Esprit de Dieu, afin que l’âme et le caractère
soient transformés. Combien de temps avons-nous perdu à des choses sans
importance ! Repentez-vous et convertissez-vous, afin que vos péchés soient
effacés au moment où les temps de rafraîchissement se produiront en présence
du Seigneur.
Nous vous appelons à vous consacrer au service de Dieu. Vous avez trop
longtemps dédié vos forces au service de Satan ; vous avez trop longtemps été
des esclaves soumis à sa volonté. Dieu vous appelle à contempler la gloire de
son caractère, de sorte que vous soyez transformés à son image. [...] Jésus est
venu révéler l’amour et la bonté de Dieu.
The Review and Herald, 29 mars 1892
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