La prière pour les malades
            
            
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              les confesser.” Les péchés qui ont un caractère privé doivent être
            
            
              confessé au Christ, le seul médiateur entre Dieu et l’homme, car “Si
            
            
              quelqu’un a péché, nous avons un avocat auprès du Père, Jésus-Christ
            
            
              le juste.”
            
            
              1 Jean 2 :1
            
            
              . Chaque péché constitue une offense à Dieu,
            
            
              et doit lui être confessé par l’intermédiaire de Jésus. Les péchés
            
            
              publics doivent être confessés publiquement. Si l’on a fait du tort
            
            
              à quelqu’un, on doit se mettre en règle avec lui. Si celui qui désire
            
            
              recouvrer la santé s’est rendu coupable de médisance, s’il a semé
            
            
              la discorde dans la famille, le voisinage ou l’église, ou s’il a attisé,
            
            
              la rancune et la haine ou si par un mauvais exemple il a entraîné
            
            
              d’autres au mal, tout cela doit être confessé devant Dieu et devant
            
            
              ceux qui ont été offensés. “Si nous confessons nos péchés, [Dieu]
            
            
              est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de
            
            
              toute iniquité.”
            
            
              1 Jean 1 :9 Le ministère de la guérison, 196
            
            
              .
            
            
              Quand les torts ont été réparés, nous pouvons présenter les be-
            
            
              soins du malade au Seigneur avec une foi tranquille, selon les indi-
            
            
              cations que l’Esprit nous donne. Dieu connaît chacun par son nom
            
            
              et s’occupe de lui comme s’il n y en avait pas d’autres sur la terre
            
            
              pour lequel il ait donné son Fils bien-aimé. Cet amour de Dieu, si
            
            
              grand et inépuisable devrait encourager les malades à se confier en
            
            
              lui, le cœur plein d’espérance. S’ils sont anxieux sur leur propre cas,
            
            
              cela tend à aggraver leur faiblesse et leur maladie. Mais s’ils ne se
            
            
              laissent pas envahir par la dépression et la tristesse, la perspective de
            
            
              guérison sera meilleure ; car “L’œil de l’Eternel est sur ceux qui es-
            
            
              pèrent en sa bonté.”
            
            
              Psaumes 33 :18 Ministère évangélique, 211-212
            
            
              Le ministère de la guérison, 196-197
            
            
              .
            
            
              Souvenons-nous que dans nos prières en faveur des malades,
            
            
              “nous ne savons pas ce qu’il convient de demander”.
            
            
              Romains 8 :26
            
            
              .
            
            
              Nous ignorons si la bénédiction que nous sollicitons est ce qu’il y
            
            
              a de meilleur. C’est pourquoi nous devrions toujours nous adresser
            
            
              à Dieu en ces termes : “Seigneur, tu connais les secrets de notre
            
            
              âme. Tu connais les personnes pour lesquelles nous te prions. Jésus,
            
            
              leur avocat, a donné sa vie pour elles. Il les aime plus que nous ne
            
            
              pouvons les aimer. Si donc c’est pour ta gloire et pour leur bien,
            
            
              nous te prions au nom de Jésus que leur santé soit rétablie. Si ce
            
            
              n’est pas ta volonté, nous te supplions que ta grâce les réconforte et
            
            
              que ta présence les soutienne dans leurs souffrances.”
            
            
              Le ministère
            
            
              de la guérison, 197
            
            
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