Dépendance et indépendance
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ment d’un seul homme ne doivent pas exercer un pouvoir décisif. —
The Review and Herald, 7 août 1894
.
Pour une efficacité croissante.
— Dieu est le maître de son
peuple ; à ceux qui lui soumettent leur esprit, il enseignera la manière
d’utiliser leur cerveau. S’ils mettent en œuvre leurs compétences, ils
grandiront en efficacité. L’héritage du Seigneur comporte des vases
grands et petits, mais chacun d’eux a une œuvre individuelle à faire.
On ne doit pas se fier à l’esprit d’un homme, ou à celui de deux ou
trois hommes pour que tout le monde dépende de leur jugement. Que
tous regardent à Dieu, qu’ils se confient en lui et croient pleinement
en sa puissance. Attachez-vous au Christ, et non aux hommes, car il
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n’est pas en leur pouvoir de vous empêcher de tomber. —
Letter 88,
1896
.
Conseil adressé à un responsable.
— C’est en Dieu que vous
devez mettre votre confiance. Ne permettez pas que votre esprit soit
envahi par la pensée des autres. Vous ne devez pas permettre que
leurs convictions vous conduisent sur de mauvaises voies. Confiez-
vous totalement en Celui qui déclare : “Non, je ne te lâcherai pas,
je ne t’abandonnerai pas !”
Hébreux 13 :5
, tr. œcum. —
Letter 92,
1903
.
La confiance en Dieu favorise la confiance envers nos sem-
blables.
— Lorsque les humains cessent de dépendre des autres
hommes, quand ils puisent en Dieu leur efficacité, la confiance mu-
tuelle grandit. Notre foi en Dieu est beaucoup trop faible et notre
confiance envers nos semblables bien trop fragile. —
Special Testi-
monies Series A 3 :48 (1895)
.
Testimonies to Ministers and Gospel
Workers, 214
.
L’expérience du roi Salomon.
— Par des prières ferventes et
par sa confiance en Dieu, Salomon obtint une sagesse qui suscitait
l’étonnement et l’admiration du monde. Mais dès qu’il se détourna
de la source de sa force morale et qu’il se mit à compter sur lui-
même, il succomba à la tentation. Alors les facultés merveilleuses
accordées au plus sage des rois en firent un instrument d’autant plus
puissant entre les mains de l’adversaire des âmes. —
La tragédie
des siècles, 554
(1911).
Des géants qui font preuve de petitesse.
— Des hommes qui,
en toutes circonstances, devraient être aussi fidèles à leur devoir que
la boussole l’est au pôle se sont montrés incompétents parce qu’ils