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Les problèmes des jeunes
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moins en moins compétentes. Certaines ont besoin de discipliner
leur esprit par l’exercice. Elles doivent s’obliger à réfléchir. Si elles
dépendent de quelqu’un d’autre pour penser à leur place, pour ré-
soudre leurs difficultés, et qu’elles refusent d’obliger leur esprit à
réfléchir, leur inaptitude à se souvenir, à prévoir et à discerner se
confirmera. Chacun doit faire des efforts pour éduquer son esprit. —
Testimonies for the Church 2 :187, 188
(1868).
Le vêtement, un reflet.
— Le vêtement est un refet de l’esprit
et du cœur. Ce que l’on porte sur soi est le signe de ce qui est en soi.
Point n’est besoin d’être intelligent ou cultivé pour faire étalage de
toilette. Le fait même que les femmes portent sur elles tant d’articles
de vêtement superflus prouve qu’elles n’ont pas le temps de cultiver
leur intelligence et de meubler leur esprit de connaissances utiles. —
Manuscrit 76, 1900, p.1
.
Pureté en pensées, en paroles et en actes.
— J’insiste à nou-
veau auprès de vous sur la nécessité de cultiver la pureté dans toutes
vos pensées, vos paroles et vos actions. Nous sommes individuel-
lement responsables devant Dieu, ce que nul ne peut faire à notre
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place. Nous devons rendre la société meilleure qu’elle n’est, par le
précepte, par des efforts personnels et par l’exemple. S’il est vrai que
nous devons chercher à être sociables, que ce ne soit pas seulement
pour nous distraire, mais avec un objectif à l’esprit. Il y a des âmes à
sauver. —
The Review and Herald, 10 nov. 1885
.
Evangelism, 445
.
Une pratique avilissante
— Certains enfants commencent
à pratiquer la masturbation dès leur plus jeune âge, et à mesure
qu’ils grandissent et prennent de la force, leurs passions sensuelles
se développent. Leur esprit est agité. Les filles désirent la société
des garçons, et les garçons celle des filles. Leur attitude n’est ni
réservée ni modeste. Ils sont au contraire effrontés, insolents, et
prennent des libertés déplacées. La pratique de la masturbation a
avili leur esprit et entaché leur âme. Des pensées impures, la lecture
de romans, d’histoires d’amour et de livres pornographiques excitent
leur imagination et conviennent tout à fait à leurs esprits dépravés.
Ils n’aiment pas le travail, et quand ils sont engagés dans une
tâche, ils se plaignent d’être fatigués : ils ont, soi-disant, mal au dos,
mal à la tête. Est-ce que ce sont là des raisons valables ? Sont-ils
* .
Voir
Child Guidance, 439-468
.